Je reviens de Marseille ou j'ai assisté à la remise des 4e Trophées de la Lumière de Marseille. Une manifestation imaginée par un lyonnais, le regretté Maurice Lacaton. A Lyon, ces Trophées ont disparu. Lyon 0 – Marseille 1.
Plus de 15 projets étaient en lice, avec 3 prix à la clef : éclairage pérenne, éclairage éphémère et éclairage architectural. Un simple tour dans la ville suffisait à témoigner que Marseille a su copier Lyon avec intelligence. Marseille est belle la nuit ! Et son maire, Jean-Claude Gaudin peut se féliciter d'avoir soutenu une opération en réalité financée par un mécène, Cabus et Raulot, filiale du groupe Sonépar, leader mondial de la distribution de matériel électrique. Le groupe Sonépar, au travers du Mat'Electrique et du Comptoir Lyonnais d'Electricité, est d'ailleurs le partenaire fondateur de la Fête des Lumières de Lyon. Belle mobilisation qu'il faut saluer.
Ces Prix mettent en valeur des équipes composées de créateurs, d'architectes et d'électriciens. Ils donnent aussi un coup de projecteur sur des quartiers où habitants, commerçants, sponsors et mécènes se mobilisent pour mettre en relief la ville.
A Lyon, les Trophées des Lumières ont disparu. Faute de sponsors, faute de mécènes. On ne peut que le déplorer. Les acteurs de l'éclairage sont orphelins, car si le fruit de leur travail se lit dans les yeux des habitants, un Prix vient matérialiser officiellement un travail, une œuvre.
Dans cette bataille, Marseille a marqué un point. Même si l'investissement de Lyon dans la Fête des Lumières est conséquent face à une municipalité de Marseille plus spectateur qu'acteur. J'ai pu discuter avec de nombreux installateurs ou architectes lumière qui regrettent la disparition de nos Trophées. Au moment même où d'autres villes de France se lancent dans le même type d'opération. Il ne suffit pas d'être à l'origine pour rester leader. La bataille entre les villes ne fait que commercer pour mériter le titre de Ville Lumière…
Ces Prix mettent en valeur des équipes composées de créateurs, d'architectes et d'électriciens. Ils donnent aussi un coup de projecteur sur des quartiers où habitants, commerçants, sponsors et mécènes se mobilisent pour mettre en relief la ville.
A Lyon, les Trophées des Lumières ont disparu. Faute de sponsors, faute de mécènes. On ne peut que le déplorer. Les acteurs de l'éclairage sont orphelins, car si le fruit de leur travail se lit dans les yeux des habitants, un Prix vient matérialiser officiellement un travail, une œuvre.
Dans cette bataille, Marseille a marqué un point. Même si l'investissement de Lyon dans la Fête des Lumières est conséquent face à une municipalité de Marseille plus spectateur qu'acteur. J'ai pu discuter avec de nombreux installateurs ou architectes lumière qui regrettent la disparition de nos Trophées. Au moment même où d'autres villes de France se lancent dans le même type d'opération. Il ne suffit pas d'être à l'origine pour rester leader. La bataille entre les villes ne fait que commercer pour mériter le titre de Ville Lumière…
Et si on reprenait à notre compte pour le 8 décembre 2007, la proposition d'un trophée?
Merci de le citer et de lui rendre hommage, nous sommes nombreux à penser à lui!
merci de mentionner mon père dans votre article.. Quel dommage que ces trophés aient disparu à lyon… Il y mettaient pourtant tellement de coeur à l'ouvrage..
Nous vous remercions d'évoquer les Trophées des Lumières de Marseille , et les efforts faits par la filière électrique , installateurs,fournisseurs, concepteurs qui s'allient pour faire de Marseille la ville Lumière de la Méditerranée. L'édition 2007 promet d'être eblouissante.
Pourquoi ce sont toujours les meilleures qui disparaissent ? les idées… comme les personnes…? Une pensée pour Maurice.
Je rejoins ma soeeur dans sa pensée,il mettait du coeur dans tout ce qu'il entreprenait, et il était doté d'un certain génie, bientot 3 ans … que le temps passe. Le 8 décembre reste son jour, a tous et a toutes, allumez vos bougies pour lui. Merci …
Chère Audrey,
Je viens de lire le gentil petit mot que tu as laissé sur ton beau-père.
J'aimerai avoir de tes nouvelles.
Passe par Jacques pour avoir mon téléphone si tu le veux bien. Je t'embrasse,
Hélène
Merci a toi pour ton message
Je te joins mon adresse mail
audrey.caro@gmail.com
A tres bientot
Audrey